Rien de vaut un commentaire à chaud, sur le vif, dans le bain, sur le pouce!!
Je rentre de plaza Colon, Madrid, comparable aux champs Elysées un soir de final de coupe du monde. 3 écrans géants, 500 000 personnes. On supporte, on crie, on s'unit, on crie, on saute de joie, de faim, on bouffe ces allemands, on crie. Quand le match s'arrête, le temps reprend, les hurlements, les ondes de la foule les bras levés, les cris au ciel, la joie doit jaillir, il ne nous était rien arrivé de tel depuis bientôt trop longtemps me déclare un supporter. Podemos!!
Puis dans un mouvement de masse, une foule compact, une marche pour l'ivresse, des millions d'espagnols se dispersent dans les rues madrilènes, tels un sang rouge et chaud dans les artères de ce coeur vif et bâtant!
Ils ne pouvaient pas rêver mieux que gagner, on ne pouvais pas rêver mieux que de finir ainsi notre année. Un cadeau qui enchante tout le monde et qui se traduit actuellement par le mélange des cris, des chants, des klaxons, des sirènes de pompiers ambulances et policiers qui redécorent Gran Via et toutes les places de la capitale espagnole.
Nous buvons à nous, espagnols d'adoption, à eux, ces joueurs qui auront prouvé leur bonne volonté et leur savoir faire dans ce parcours sans faute et sans défaite...
Que viva España!
Charles M, pour Radio Espagne Rouge. A vous les studios!
Je rentre de plaza Colon, Madrid, comparable aux champs Elysées un soir de final de coupe du monde. 3 écrans géants, 500 000 personnes. On supporte, on crie, on s'unit, on crie, on saute de joie, de faim, on bouffe ces allemands, on crie. Quand le match s'arrête, le temps reprend, les hurlements, les ondes de la foule les bras levés, les cris au ciel, la joie doit jaillir, il ne nous était rien arrivé de tel depuis bientôt trop longtemps me déclare un supporter. Podemos!!
Puis dans un mouvement de masse, une foule compact, une marche pour l'ivresse, des millions d'espagnols se dispersent dans les rues madrilènes, tels un sang rouge et chaud dans les artères de ce coeur vif et bâtant!
Ils ne pouvaient pas rêver mieux que gagner, on ne pouvais pas rêver mieux que de finir ainsi notre année. Un cadeau qui enchante tout le monde et qui se traduit actuellement par le mélange des cris, des chants, des klaxons, des sirènes de pompiers ambulances et policiers qui redécorent Gran Via et toutes les places de la capitale espagnole.
Nous buvons à nous, espagnols d'adoption, à eux, ces joueurs qui auront prouvé leur bonne volonté et leur savoir faire dans ce parcours sans faute et sans défaite...
Que viva España!
Charles M, pour Radio Espagne Rouge. A vous les studios!
2 commentaires:
Waou !! J'avais même pas pensé à ça, que tu y étais bien sûr pour cette finale, que je n'ai pas vue d'ailleurs...:S
On se voit ce WE Couz', j'ai vraiment hâte, j'espère que ton stage se passe bien.
Quand reviens-tu en France exactement ?
Tu auras le temps de me parler de tout ça bientôt ;)
Besos
Un de mes buts : trouver le temps de vous lire, toi et Arthur, aussi souvent que la Grosse Pomme me le permet !
J'ai au moins une bonne raison de rentrer : te revoir et dessiner tous nos souvenirs autour d'un Martini parisien...
Quant à moi, je peine à trouver le temps de poser quelques mots new yorkais sur mon blog. Je ne désespère pas !
Tu me manques.
Plein d'amour, plein de pommes, plein de bécots. :-)
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